novembre 2013
Retrouvez le détail des interventions de ce petit-déjeuner débat
Présentation du petit-déjeuner du 19 novembre 2013
Denis Le Bossé, Président du Cabinet ARC, présente les enjeux liés à la compétitivité, avec Louis Gallois comme invité.
Louis Gallois, invité du Cabinet ARC
Mardi 19 novembre 2013, le Cabinet ARC recevait Louis Gallois pour son petit-déjeuner débat « Comment retrouver de la compétitivité ? ». Ce rendez-vous a été l’occasion pour Monsieur Gallois de commenter les résultats du baromètre annuel Cabinet ARC/IFOP sur le recouvrement de créances
Louis Gallois sur les facteurs pour retrouver de la compétitivité en Europe
Compétitivité et croissance : Louis Gallois s’exprime sur les facteurs de reprise de la compétitivité française et le retour de la croissance en Europe.
Louis Gallois sur l’utilité du nucléaire et l’importance d’une politique énergétique européenne
Compétitivité et énergie : Louis Gallois s’exprime sur l’utilité de l’industrie nucléaire et regrette le manque de politique énergétique européenne.
Louis Gallois et la fiscalité
Louis Gallois prône la stabilité et la visibilité fiscale pour rassurer les entreprises et redonner de la compétitivité.
Jean-Marc Sylvestre, éditorialiste, commente l’intervention de Louis Gallois
« L’amélioration de la situation de l’industrie française passe surtout par une harmonisation des politiques économiques européennes ».
Biographie Louis Gallois
Louis Gallois est depuis 2014 président du conseil de Surveillance du groupe PSA Peugeot Citroën. Débutant sa carrière dans le milieu politique à la Direction du Trésor en 1972, il deviendra directeur général de l’Industrie au ministère de l’Industrie en 1982 avant d’être chargé de mission au Ministère de l’Economie, des Finances et de la Privatisation en octobre 1986. Il prend le poste de Président-Directeur Général de la SNECMA en 1989 puis de l’Aerospatiale en 1992. Il poursuivra à la tête de la SNCF en 1996 à la tête de laquelle il restera jusqu’en 2006. C’est alors qu’il prend la tête du groupe EADS jusqu’en 2012. Il est alors nommé Commissaire Général à l’Investissement, fonction qu’il occupera pendant 2 ans.