« Le Cabinet ARC m’a beaucoup séduit sur la manière dont a été mis en place notre cadre de travail, pour deux raisons : la première, c’est que l’on a défini ensemble quel était le cadre de travail, donc on a une charte que l’on a signé tous les deux sur la manière dont je souhaite qu’il fasse du recouvrement ; et puis, la manière dont il doit me restituer les fonds et de la manière dont on doit communiquer ensemble pour permettre d’avoir un retour de cash rapide.
Alors on a, à travers cette charte, privilégié la dématérialisation. La dématérialisation, c’est l’ensemble de nos factures que nous ne transmettons plus, mais qu’il vient chercher sur le Site Internet où nous les avons, donc il y a un certain nombre de modélisations qui lui ont permis à lui aussi de faire des économies et que cela nous permette, pour nous, d’avoir une relation gagnant/gagnant. »
« Alors les spécificités, c’est très clairement la possibilité de monter deux types de scénario de contentieux : un scénario de contentieux qui soit très juridique, c’est-à-dire tout de suite une action en justice ; et puis, un scénario de contentieux qui soit plus souple, qui permette de négocier et de mettre en place des moratoires, toujours sur cet aspect d’accompagnement du client.
Mais ce qui m’a beaucoup séduit, c’est la technicité juridique du Cabinet ARC qui sait utiliser la bonne procédure, faire les bonnes saisies conservatoires, comme ils l’ont expliqué, et permettre un retour de fonds rapide. »
« Les enjeux du recouvrement sont importants surtout dans une activité aujourd’hui qui est difficile. Donc, on a deux impacts : la LME effectivement puisque l’on a un accord dérogatoire que les délais de paiement que l’on doit récupérer avec la mise en place de la LME sont effectifs ; et deuxième enjeu, c’est effectivement continuer à réduire nos retards de paiement et tout ceci en restant près de nos clients puisque si un client, comme je le disais tout à l’heure, a des difficultés, il faut apprécier avec lui si ce sont des difficultés passagères ou des difficultés importantes. »
Jérôme Mandrillon nous fait partager son point de vue sur les procédures de recouvrement au niveau européen.
Comment jugez-vous la nouvelle réglementation mise en place dans l’Union européenne ?
Jérôme Mandrillon : La suppression de la procédure d’exéquatur est une avancée incontestable pour le droit européen, qui fait gagner beaucoup de temps dans l’enregistrement des demandes de recouvrement. Mais ce qui peut être considéré comme une vraie révolution est la mise en place de l’injonction de payer européenne.
En quoi est-ce une révolution ?
J. M. : À vrai dire, la dématérialisation des pièces est le véritable enjeu : via la certification déjà proposée par des organismes comme Certigreffe, il est possible de compléter le formulaire de demande d’injonction de payer en ligne, et il sera bientôt aisé de le formaliser de façon totalement dématérialisée. Cela rendra plus efficace encore la procédure de recouvrement et la mise en exécution des décisions de justice.
Chez LafargeHolcim, faites-vous appel au Cabinet Arc ?
J. M. : Nous avons peu de contentieux inter-États, mais travaillons sur différents dossiers avec le Cabinet ARC. Je connais ce cabinet depuis près de quinze ans, et apprécie son sérieux et sa rapidité. Nous pouvons compter sur l’adaptation des juristes du Cabinet ARC en fonction du degré de rapidité souhaité pour chaque dossier, et pouvons suivre en temps réel l’évolution de la situation et l’état de la procédure en cours. Je considère le Cabinet ARC comme un véritable partenaire à long terme.
Sophie Milliot
Directrice administrative et financière
« Nous rencontrons beaucoup de difficultés liées à la qualité de nos factures ainsi qu’au paiement de ces dernières. C’est pour cette raison que j’ai fait appel au Cabinet ARC pour nous aider à accélérer le mouvement. »
Laurent Lemaire
Directeur du crédit
« L’action préalable de définir, d’identifier les avoirs saisissables, est à ma connaissance une spécificité du Cabinet ARC. Nous ne l’avons vu nulle part ailleurs et je pense que c’est une très forte valeur ajoutée. »
Philippe Mc Vean
Trésorier & Credit manager
« Le droit des sûretés permet notamment de pallier l’incertitude des moyens d’exécution forcée qui ne sont pas toujours efficaces en cas de défaillance du débiteur. L’expertise du Cabinet ARC peut s’avérer très utile dans le conseil pour la mise en place de ces sûretés. »